En Suède, Tesla est en proie à une grève initiée par ses mécaniciens, ralliant d’autres secteurs. La bataille s’étend désormais à une confrontation judiciaire avec PostNord pour la livraison des plaques d’immatriculation. Tesla, accusant un “refus discriminatoire”, affirme que le gouvernement suédois a une “obligation constitutionnelle”. Cette lutte souligne les enjeux entre la réputation de Tesla et les droits syndicaux suédois, dans un pays où la majorité de la main-d’œuvre est syndiquée.
En Suède, Tesla se trouve au cœur d’une tempête provoquée par une grève initiée par ses mécaniciens. Ce conflit, loin de demeurer anecdotique, a pris une ampleur inattendue, ralliant d’autres secteurs tels que les facteurs suédois, exprimant ainsi leur solidarité et exerçant une pression significative sur la marque. L’objectif : obtenir la signature d’une convention collective que l’entreprise élude depuis maintenant cinq ans.
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La dernière escarmouche de Tesla s’est jouée contre PostNord, la société suédoise de services postaux. La raison ? La firme américaine a intenté une action en justice pour obtenir la livraison des plaques d’immatriculation de ses véhicules électriques en Suède. En l’absence de ces plaques, l’immatriculation des véhicules devient impossible, retardant ainsi leur livraison. La bataille s’est déroulée devant un tribunal qui a finalement donné raison à Tesla, ordonnant à PostNord de fournir les plaques d’immatriculation, malgré le refus catégorique des postiers. Une amende pend au-dessus de la tête de la société s’ils ne s’y conforment pas dans un délai d’une semaine.
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