Pas de revendeurs, pas de représentant, pas de concession, …
Une petite communauté d’environ une dizaine de propriétaires en France
Voiture atypique …
Née en Angleterre, aujourd'hui propriété d'un français, la marque Moss avec son modèle Monaco
Pas de revendeurs, pas de représentant, pas de concession, …
Une petite communauté d’environ une dizaine de propriétaires en France
Voiture atypique …
La Moss Monaco est l’une de ces rares anglaises qui réinventent la tradition sans la trahir. Née dans les années 1980 des ateliers de John Cowperthwaite à Sheffield, elle perpétue l’esprit des barquettes d’après-guerre : lignes simples, légèreté absolue, moteur accessible, plaisir brut.
Fabriquée en très petite série, chaque exemplaire était assemblé à la main à partir de bases Triumph ou Ford, selon le goût et la maîtrise de son constructeur.
Sa carrosserie en fibre de verre évoque les sportives de Goodwood ou Silverstone, avec ce charme artisanal typiquement britannique où rien n’est de trop.
Plus qu’une voiture, la Moss Monaco est une interprétation — celle d’un homme qui rêvait d’un retour à la conduite pure, débarrassée de l’électronique et de la vanité. Elle ne doit rien à Stirling Moss sinon un clin d’œil de nom : son histoire appartient à ces passionnés anonymes qui ont fait vivre l’âge d’or du kit-car anglais.
Sur la route, elle se conduit avec la sincérité d’une machine conçue pour le mouvement, non pour le décor. Une pièce rare, sincère et légère, où l’on retrouve, intact, le goût anglais du pilotage à l’ancienne.
Faits établis et sources primaires anglophones.
Conclusion factuelle
— « Moss Monaco » = kit-car anglais de John Cowperthwaite, années 1980–1990, base Triumph/Ford, production artisanale; aucune filiation directe avec Sir Stirling Moss. La confusion vient de l’homonymie « Moss » et du mot « Monaco » déjà associé aux victoires de Stirling et au Cooper « Monaco ». (Wikipédia)